jeudi 30 mars 2017

CANICULE - La France aussi a ses rednecks !

Vous savez ? Ces habitants de l'Amérique profonde, bêtes, racistes, qui sentent la transpiration et la crasse incrustée...
Ces "oubliés" qui manient si bien le banjo chez John Boorman, la tronçonneuse chez Tobe Hooper , ou le flingue et le fusil à pompe chez Rob Zombie.
Le redneck, un produit typiquement américain donc, que l'on trouve généralement dans son Texas natal, le cul posé sur un rondin ou une vieille carcasse rouillée de machine agricole, nageant dans une salopette trop grande, essuyant la sueur accumulée sous sa casquette tâchée de graisse tout en reluquant sans vergogne aucune le rebondis postérieur de sa petite cousine, ou la lourde poitrine d'une frangine qui étend du linge (car le redneck est consanguin aussi...).
Le redneck est aux États-Unis ce que le béret/baguette est à la France. Une A.O.C., un produit d'origine (in)contrôlée. Maintes fois imité, jamais égalé, à la saveur unique.
Et en 1984, justement, un réalisateur français, et non des moindres, tente lui aussi de s'approprier cette figure, et le crie haut et fort : "La France aussi a ses rednecks !". Et ils sont dans la Beauce, eux aussi isolés, et écrasés par une chaleur infernale alors qu'ils cultivent  des céréales à perte de vue.





lundi 2 janvier 2017

31 - Running Man à la sauce rednecks

 "In hell, everybody loves popcorn..."
                                      Doom-Head


31, le nouveau bébé de Rob Zombie, sort le 4 janvier par chez nous, en DTV (Direct To Video, directement en vidéo), donc sans passer par nos chères salles obscures...
Excepté pour une poignée d'amateurs chanceux, qui ont pu le voir au début du mois de décembre, dans la magnifique salle du Max Linder Panorama, dans le cadre du PIFFF (Paris International Fantastic Film Festival, le Festival du Film Fantastique de Paris, donc...). Amateurs chanceux dont j'étais, pour une fois...